Déposé le 28/05/2013 à 18h49
Un jeune de 17 ans n'a pas le droit de voter: manque de maturité, mais il pourrait demander l'euthanasie ? La loi le permet. Les parents sont d'accord et, même, s'ils ne le sont pas leur enfant est grand assez pour décider de sa vie.
S'il souffre, pourquoi le retenir?. Le médecin, ou plutôt l'infirmière pose l'acte de non retour : la mort.
Ne peut-on offrir que la mort aux jeunes qui souffrent?
Un autre scénario. Il exprime la pointe de l'iceberg. S'il souffre, pourquoi ne pas se mettre à coté de lui et, ensemble, aller en profondeur à propos de sa souffrance: ça fait mal mais cela aide de savoir pourquoi?
Ses parents sont en train de divorcer? Sa copine l'a plaqué? Il se sent mal dans sa peau? Sa vie n'a pas de sens?...
Essayons de le comprendre. Essayons de lui donner des vraies réponses à ses questions. Offrons-lui de l'affection.
Quelle belle responsabilité nous avons d'accompagner les jeunes vers une vie épanouie et remplie de sens ou même la souffrance peut avoir une place. Le découvrir devient une aventure passionnante.
Ne gâchons pas une vie dans un moment de crises. Ce garçon pourrait le regretter. Et ses parents aussi...
Mais ce sera trop tard.